risque industriel

Le risque industriel à Saint-Alban-du-Rhône est lié :

  • D’une part à la présence de la centrale nucléaire sur le territoire communal : des habitations, des écoles, un établissement recevant du public et la zone de captage d’eau se trouvent dans le périmètre de risque.
  • D’autre part à l’implantation toute proche sur la commune voisine de Saint Clair du Rhône des deux industries suivantes : ADISSEO FRANCE SAS (classée « SEVESO »), et TOURMALINE REAL ESTATE – Groupe PROUDEED. Ces entreprises présentent des risques industriels majeurs, en raison de la nature et de la quantité des produits qu’elles stockent, utilisent ou fabriquent, pour les habitations et l’établissement recevant du public.

    Mesures préventives :

  • Application de la législation relative aux Installations Classées pour la Protection de l’Environnement, de la directive SEVESO et de la réglementation spécifique aux centrales nucléaires.
  • Contrôle permanent de l’installation nucléaire et de ses rejets, et maîtrise de l’aménagement alentours.
  • Information de la population et campagnes de distribution de comprimés d’iode (1997, 2000, 2005, 2009-2010).

    Conduites à tenir :

    conduites-a-tenir-risque-industriel

    De plus amples informations sur les risques industriels majeurs pour le bassin Rousillon – Saint-Clair-du Rhône sont disponibles sur le site les bons réflexes.com.

P.A.C.S.

P.A.C.S.

• Vous vivez avec une autre personne et vous ne souhaitez pas ou vous ne pouvez pas vous marier,

• vous souhaitez organiser les modalités de votre vie commune dans un cadre juridique stable,

• Vous remplissez les conditions prévues par la loi,

Vous pouvez conclure un PACS et faire une déclaration conjointe au greffe du tribunal d’instance compétent.

Pour vous informer sur les conditions pour conclure un PACS et les démarches à effectuer rendez-vous sur Service Public.fr

_http://www.legifrance.gouv.fr/affichSarde.do?reprise=true&page=1&idSarde=SARDOBJT000007116665&ordre=null&nature=null&g=ls

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risque de rupture de barrage

Le risque de rupture de barrage concerne le barrage de Vouglans sur l’Ain situé à près de 180 km de la commune. En cas de rupture totale et imprévue, l’onde de submersion atteindrait Saint Alban du Rhône environ 15 heures plus tard avec une vague déferlante de l’ordre de 13 mètres.

Mesures préventives :

  • Surveillance par l’exploitant :

     à l’aide d’examen visuels : visites périodiques de l’ouvrage, de ses évacuations et des versants de la retenue.

     à l’aide de relevés effectués par instrumentation automatique : mesures des débits de fuite, des pressions d’eau, des déformations des joints, des tassements de l’ouvrage.
  • Surveillance par les services de l’Etat (DRIRE : Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement) :

     à l’aide de visites périodiques annuelles : contrôle de l’état d’entretien et de fonctionnement de différents organes du barrage, de l’état des terrains environnant ainsi que de l’état de fonctionnement des dispositifs de mesures.

     à l’aide de visites périodiques décennales : contrôle des parties noyées de l’ouvrage à l’aide de scaphandriers, de ‘soucoupes plongeantes’, ou de caméras vidéos étanches.
  • Plan Particulier d’Intervention destiné à prévoir l’alerte, l’évacuation, l’organisation des secours.

    Conduites à tenir :

    conduites-a-tenir-rupture-de-barrage

risque de transport de matières dangereuses

La commune est concernée par le risque de transport de matières dangereuses par route (RD 37B), par rail (ligne Lyon Marseille), et par voie fluviale sur le Rhône. Il s’agit du passage de 100 à 500 camions/jour ainsi que 100 à 300 trains/jour transportant des matières dangereuses. Nous pouvons également évoquer l’aldéhyde méthylthiopropionique (AMTP) transporté par ADISSEO jusqu’à Roussillon par pipeline enterré; ce dernier se situe à l’est, légèrement en dehors des limites de notre commune. En cas d’accident, le danger peut se traduire par une explosion, un incendie, un nuage toxique, ou une pollution du sol ou de l’eau.

Mesures préventives :

  • Au niveau national, une réglementation rigoureuse porte sur :

     La formation du personnel.

     La construction des citernes selon des normes établies.

     Des contrôles périodiques (choc, pression, …).

     Des règles strictes de circulation (vitesse, stationnement, itinéraire de déviation, …).

     L’identification et la signalisation des produits dangereux transportés avec les numéros d’identification du danger et du produit, indiqués sur une plaque orange située à l’arrière du véhicule.
  • Protocole « TRANSAID » permettant, à l’échelon national, l’intervention rapide en tout point du territoire des meilleurs spécialistes du produit en cause.
  • Plan de Secours Spécialisé « Transport de Matières Dangereuses » déclenché par le Préfet et prévoyant les mesures à prendre ainsi que les moyens de secours à mettre en œuvre en cas d’accident.
  • Système de contrôle automatique des voies ferrées.
  • Visite de contrôle périodique de l’intérieur du pipeline sur toute sa longueur.

    Conduites à tenir :

    conduites-a-tenir-risque-transport-de-matieres-dangereuses

Gabriel Veyre

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Rue du Rhône, sur le portique d’entrée de la propriété appartenant aujourd’hui à Monsieur et Madame MARIE, une plaque indique que Gabriel VEYRE, a vécu dans cette maison.

gabriel-veyreGabriel VEYRE, pionnier du cinématographe, est né le 1er février 1871 à Septème (Isère) puis vécut une partie de son enfance et de son adolescence dans notre village.

En 1895 il obtient un diplôme de pharmacie de l’Université de Lyon.
Après la mort de son père, notaire à St Alban, et pour subvenir aux besoins de sa famille, il devient opérateur des frères Lumière en 1896. C’est ainsi qu’il va parcourir le monde et promouvoir cet art qu’est devenu le cinéma.
Dès avril 1896 il part en Belgique comme opérateur de projection. L’année suivante il se rend à Cuba, au Panama, au Venezuela, en Colombie.
Il est de retour en France en 1897.
En juillet 1898 il part au Canada et au Japon, puis en 1899 il va en Chine et en Indochine jusqu’en 1900.
En 1901, il arrive au Maroc où il devient photographe-cinéaste du Sultan Abd El Aziz. Il est promu Ingénieur de sa Majesté Chérifien.
Il publie en 1905 « Au Maroc, dans l’intimité du Sultan ».
Il s’installe définitivement au Maroc ou il meurt le 13 janvier 1936. Il est enterré au Cimetière Chrétien de Casablanca. Sur sa tombe on peut lire : « Ci-gît le Docteur Gabriel VEYRE (1871-1936), Officier de la Légion d’Honneur, premier précurseur de la civilisation française au Maroc ».

La vie de Gabriel VEYRE a pu être retracée grâce aux lettres qu’il a écrites des quatre coins du monde à sa mère restée à St Alban. Son arrière petit fils, Philippe Jacquier, et Marion Pranal ont rassemblé ces courriers dans un livre intitulé « GABRIEL VEYRE, OPERATEUR LUMIERE »
Il est à noter aussi qu’au musée des Frères Lumière à Lyon, plusieurs thèmes lui sont consacrés.

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Inscription listes électorales

Inscription sur les listes électorales

Les personnes qui ne sont pas inscrites sur les listes électorales, ou qui sont inscrites dans une autre commune mais souhaitent voter à Saint-Alban, doivent nécessairement s’inscrire sur les listes électorales.

Les pièces à apporter en mairie sont les suivantes :

 carte d’identité (ou passeport)

 justificatif de domicile (facture d’électricité, de téléphone, quittance de loyer, …)

 la carte d’électeur pour les personnes déjà inscrites dans une autre commune

Il est nécessaire de s’inscrire sur les listes électorales avant le 31 décembre pour pouvoir voter l’année suivante.

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La décollation de Saint Jean Baptiste

Parmi les tableaux qui ornent les murs de l’église de ST ALBAN, un mérite une attention particulière, il s’agit de la “Décollation de Saint Jean Baptiste dans les prisons d’Hérode”.

La scène peinte par François PERRIER est violente. Le Saint gît au sol, décapité. Il est dépouillé de son manteau et a lâché son bâton en forme de croix auquel s’attache une banderole annonçant la naissance du sauveur. Deux bourreaux s’affairent; l’un tient l’épée sanglante et pose la tête de Jean Baptiste sur le plateau que lui tend un page, l’autre, agenouillé, délie les mains du Saint. Au fond, deux soldats surveillent la scène.

Ce tableau que l’on croyait perdu est accroché depuis de nombreuses années sur le mur sud du chœur de notre église. Il a été découvert au début des années 1980 par G. CHOMER, historien d’art.la-decollation-de-saint-jean-baptiste

Que sait-on du peintre? D’où provient ce tableau?

François PERRIER, peu connu de nos jours, est né à Macon vers 1590-1600. Très jeune il se rend à Lyon où il apprend à peindre et à dessiner. A partir de 1620 il fait plusieurs séjours à Rome, Lyon, Paris où il décède en 1650. Il est à cette époque un peintre réputé. Louis XIV s’honore de posséder deux de ses peintures. En 1776, Louis XVI acquiert à prix fort une de ses œuvres.

Lors de son séjour lyonnais de 1629 à 1630, François PERRIER réalise un ensemble de fresques et tableaux pour le monastère des Chartreux de Lyon.

La Décollation de Saint Jean Baptiste provient de cet ensemble. En effet, dans un inventaire des peintures de François PERRIER à la Chartreuse de Lyon, nous pouvons lire que l’église Saint Bruno des Chartreux possède, à la fin du XVII ème siècle un tableau dont la description correspond exactement à la peinture présente dans notre église.

Cette œuvre a certainement été acquise lors de la dispersion des biens des Chartreux sous la Révolution. Elle peut être datée de 1630. Ce tableau est classé au titre des monuments historiques.

Elections municipales

Résultat des élections municipales du 23 mars 2014

Electeurs inscrits : 618 Votants : 445 Bulletins nuls : 14

Suffrages exprimés : 431

Liste « Le Renouveau dans la continuité » :

AMADIS Lydia : 307 voix BILLES Bernard : 309 voix
BRICHE Alain : 307 voix CARMONA Serge : 318 voix
CHAMBON Denis : 317 voix CHARDON Jean-Pierre : 323 voix
DURIEUX Robert : 323 voix DURIF Marie-Christine : 339 voix
FERMOND Cédric : 310 voix GOBIN Gisèle : 309 voix
KARSENTY Eddie : 308 voix PIAZZA Livio : 317 voix
POURRAT Pierre : 336 voix RAMBAUD Véronique : 323 voix
SAVOYE Frédérique : 308 voix

Liste « Nouvelle équipe, nouvel élan »

BOISSONNET Gisèle : 133 voix BOSC Catherine : 125 voix
CROLLA Armelle : 103 voix DUTOUR Bruno : 116 voix
FERINCE Gilbert : 134 voix JAUNET Gilbert : 99 voix
KARSENTI Frédéric : 97 voix KOLB Maud : 102 voix
MADEKOUR Ali : 83 voix MADEKOUR Stéphanie : 82 voix
MOREL Jean-Carnot : 106 voix MORETTON Alain : 106 voix
MORETTON Arnaud : 107 voix NICAISE Alain : 107 voix
SALLES Alain : 97 voix

L’adoration des mages

ladoration-des-mages Ce bas relief du 12ème siècle se situe sur la porte de l’église.
De gauche à droite : les trois rois guidés par l’étoile, la Vierge assise tenant sur ses genoux l’enfant Jésus, Joseph en prière et, de part et d’autre de la scène, une chapelle à pinacle évoquant la cité de Bethléem.
Les noms des rois mages sont gravés dans la partie supérieure de la sculpture

Monument historique classé mobilier

Bas relief médiéval

bas-relief-medievalCette sculpture, encastrée dans la façade du café Tallaron, représente un personnage barbu, les mains jointes en un signe de prière ou d’imploration

Monument historique inscrit mobilier

La fontaine miraculeuse

fontaine-miraculeuseChaque village a ses légendes, ses histoires plus ou moins réalistes. St Alban ne faillit pas à la tradition, en particulier en ce qui concerne la source qui sort de terre au pied de la croix, près du pont qui enjambe la Varèze.
L’eau limpide qui coule dans une petite construction ressemblant à une petite chapelle a la particularité de teindre les cailloux que l’on y jette en vert vif tacheté de rouge brique.
Les anciens prétendaient que cette source guérissait des maux les plus divers. L’historien Chorier, dans son histoire du Dauphiné écrivait : « la fontaine de St Alban du Rhône a deux propriétés dignes d’observation, elle est un remède aux fièvres, à la gale et aux ulcères, d’ailleurs, elle peint de toutes les couleurs les cailloux sur lesquels elle roule ».
Les vertus que l’on prête à cette source n’auraient-elles pas pour origine un évènement qui se serait passé en 1618 ?
Le 12 septembre de cette année, Mme Duffier implore la Vierge de guérir sa fille Claudine, âgée de 11 ans et atteinte d’eczéma suintant. La Vierge fit jaillir cette source, l’enfant s’y lava et fut guérie. Cette fontaine n’aurait jamais tari depuis le 12 septembre 1618.
croix-au-dessus-de-la-fontaine
Des historiens du XVIIème siècle tels que Nicolas Chorier, Denis de Boissieu, Guy Allard, le Père Ménestier, ont étabi des listes énumérant les sept merveilles du Dauphiné (en référence aux sept merveilles du monde antique). La fontaine de St Alban figure dans cet inventaire. Le mot « merveille » évoquait quelque chose d’inexplicable, un phénomène ou site naturel mystérieux. En réalité le chiffre de sept est largement dépassé car chaque auteur avait sa propre liste.

A noter : cette fontaine est située dans une propriété privée.

Qui m’a vu a pleuré,….

« Qui m’a vu a pleuré, qui me verra pleurera »

Telles sont les inscriptions, en latin, que nous pouvions lire sur une pierre qui apparaissait, lors des grandes sécheresses, dans le lit du Rhône avant que celui ci ne soit canalisé.

pierreCette pierre est certainement à l’origine du nom du lieu dit « LA ROCHE » situé en contrebas de notre village.

De quand datent ces inscriptions ? Que signifiaient-elles ?

Si l’origine des ces inscriptions est inconnue, la légende prétend que l’apparition de la pierre, due au retrait de l’eau, était annonciatrice de grandes catastrophes : on l’aurait vu avant 1914 et avant 1939. Une version, plus raisonnable, affirme que sa mise à jour a fréquemment précédé des crues importantes.

Sa dernière apparition date de l’été 1976 qui avait été particulièrement sec. Depuis, quelles que soient les conditions météorologiques, les aménagements du Rhône maintiennent le niveau de l’eau constant et cette pierre reste invisible.

Est-elle engloutie à tout jamais dans les eaux du fleuve ?

A-t-elle été détruite lors des travaux d’aménagement du Rhône ?

Baptême républicain

Le baptême républicain (appelé également “baptême civil”, ou parrainage civil) est destiné à faire entrer l’enfant dans la communauté républicaine et à le faire adhérer de manière symbolique aux valeurs républicaines.

Le baptême républicain n’est prévu par aucun texte législatif. Les maires ne sont donc pas tenus de le célébrer et il n’y a pas de cérémonial préétabli.

Il ne s’agit pas d’un acte d’état civil, le maire n’est pas autorisé à l’inscrire sur les registres de l’état civil.
Ainsi, rien n’oblige l’officier d’état civil à recevoir une déclaration de “baptême” ou de “parrainage civil”. Cela ne lui est pas interdit non plus mais les certificats ou documents qu’il délivre pour l’occasion, ainsi que la tenue d’un registre officieux, ne présentent aucune valeur juridique.

L’engagement que prennent les parrains et marraines de suppléer les parents en cas de défaillance ou de disparition n’a qu’une valeur morale. Il est possible de les désigner tuteur par testament ou par déclaration devant notaire.

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Origine du réseau d’eau

En 1928, Saint Alban du Rhône, petit village de 25O âmes, a été doté d’un réseau d’eau potable. Quelle joie pour les habitants de pouvoir avoir un robinet sur l’évier et d’y voir couler une eau limpide qu’ils devaient jusque là aller puiser au puits le plus proche!
En 1925, la commune fait l’acquisition d’une source en copropriété avec la commune de Saint Maurice l’Exil.
Acte authentique de vente du 6 Juillet 1928 à l’étude de Maître Crétat notaire à St Alban du Rhône.
Cette source, dite source FRANCOU, est située sur le territoire de la commune de Saint Maurice l’Exil, au lieu dit Givray. Elle est achetée à Madame FONT pour le prix de 33250 francs, en ce qui concerne la part de St Alban.
Cette source a un débit de 200 litres minute.
Par convention en date du 3 Janvier 1925 passée entre les communes, la répartition de la quantité d’eau attribuée à chacune d’elles est de 130 litres à St Maurice L’Exil et de 70 litres à la commune de St Alban du Rhône.
L’entretien du réseau commun situé sur le territoire de la commune de St Maurice l’Exil reste à la charge de cette dernière.

Maires de l’époque :

 St Maurice l’Exil : Monsieur Paul TOURAY

 St Alban du Rhône : Monsieur Hippolyte VINCENT

Un compteur est placé chemin communal n°2 actuellement Route de St Maurice et un autre lieu dit le Turral actuellement chemin du Turral, afin de comptabiliser la quantité d’eau distribuée.
En 1961, la commune de St Maurice l’Exil fait l’acquisition d’une nouvelle source, la source de MATA, située au lieu dit le Colombier pour son déversement dans le réseau commun à concurrence de 35% du débit.
Cette addition d’eau décidée par Saint Maurice l’Exil dans une canalisation commune aux deux villages sans avoir au préalable consulté le Conseil Municipal de St Alban du Rhône a donné naissance à de nombreux débats et polémiques entre municipalités :

  lettres entre maires

  constat d’huissier de justice

  lettres adressées de part et d’autre au sous-préfet, etc.
Finalement, la commune de St Alban du Rhône obtient de la commune de St Maurice l’Exil une nouvelle convention aux termes de laquelle la commune de St Maurice l’Exil s’engage à fournir gratuitement à la commune de St Alban du Rhône une quantité supplémentaire d’eau de 100 litres minute à prélever sur le débit de la source MATA, propriété de la commune de St Maurice.
A cette date la commune de St Alban du Rhône dispose donc d’une quantité totale d’eau de 170 litres minute. Le compteur du Turral est supprimé, c’est une des clauses de la convention.

Maires de l’époque :

  St Maurice l’Exil : Monsieur CAPPIOT

  St Alban du Rhône : Monsieur Alfred DURIEUX

Bien que se soit le SIGEARPE qui exploite maintenant le réseau d’eau de St Maurice, la dernière convention signée par les deux municipalités est toujours d’actualité puisque la quantité d’eau qui nous est due est de 250 mètres cube / jour soit approximativement 170 litres/minute

Derniers investissements réalisés

Derniers investissements réalisés :

 en 2007 : emprunt de 15 000 € pour financer diverses dépenses:

  • achat d’un enrouleur pour l’arrosage des terrains (5 555 €)
  • remise aux normes du tableau électrique (6 456 €)
  • réfection du terrain d’entraînement (aération, semis,..pour 6 309 €)
  • réfection de la toiture de la buanderie, suite à effraction (1 593 €)

 en 2008 :

  • achat d’une traceuse (2 200 €)
  • changement de deux VMC simple flux des vestiaires (535 €).

 en 2009 :

  • changement du corps de chauffe de la chaudière au fioul (2 039 €)
  • aménagement placards de rangement (2 378 €)

 en 2010 :

  • abri de touches pour délégués (953 €)
  • taille haie (580 €)
  • changement 3 chassis fixes des vestiaires (1 545 €)

 en 2011 :

  • grillages sur défenses des chassis des vestiaires (1 055 €)
  • acquisition d’une tondeuse autoportée Iseki d’occasion (8 970 €)
  • mise en place de 3 projecteurs supplémentaires sur mât est (2 789 €).

 en 2012 :

  • remplacement chaudière fioul : 12 823 €

 en 2013 :