Naissance

Naissance

La déclaration de naissance :

La déclaration de naissance s’effectue à la mairie du lieu de naissance. Elle doit obligatoirement intervenir dans les trois jours suivant la naissance d’un enfant (le jour de l’accouchement n’étant pas compté dans ce délai). Si le dernier jour est un samedi, un dimanche, un jour férié ou chômé, le délai est prorogé jusqu’au premier jour ouvrable suivant.

Si la naissance n’est pas déclarée dans ce délai légal, l’officier de l’état civil sera dans l’obligation de refuser votre déclaration. Un jugement déclaratif de naissance rendu par le tribunal de grande instance tiendra alors lieu d’acte de naissance.

Qui peut déclarer une naissance ?
• le père de l’enfant
• à défaut, les médecins, les sages-femmes ou les personnes qui ont assisté à l’accouchement ou personne chez qui l’accouchement a eu lieu.

Pièces à produire :

Il est indispensable de fournir :
• un certificat médical d’accouchement qui vous sera remis par l’hôpital ou la clinique où a eu lieu la naissance.

il est recommandé de fournir également :
• le livret de famille s’il existe
• les actes de naissance du père et de la mère ou, en absence du livret de famille, les pièces d’identité de chacun des parents
• les actes de naissance des frères et soeurs du nouveau-né s’il y a lieu
• le formulaire de déclaration conjointe de choix de nom, s’il y a lieu
• l’acte de reconnaissance prénatale s’il y a lieu.

L’enfant né à partir du 1er janvier 2005 pourra porter :
• soit le nom du père
• soit le nom de la mère
• soit le double nom (ordre choisi par les parents) à condition que la filiation soit établie à l’égard de ses parents au plus tard le jour de la naissance ou par la suite simultanément.
• ce choix s’imposera aux autres enfants à naître du couple à condition que la filiation soit établie à l’égard des deux parents à la date de la déclaration de naissance.
• Un parent avec un double nom peut n’en mettre qu’un seul.

En l’absence de déclaration conjointe de choix de nom fournie à l’officier d’état civil, l’enfant portera le nom :
• du père pour les parents mariés,
• de celui de ses parents à l’égard duquel sa filiation est établie en premier et le nom du père si la filiation est établie simultanément à l’égard de l’un et de l’autre, pour les parents non mariés.

Lorsque les parents ne sont pas mariés, la filiation s’établit différemment à l’égard du père et de la mère :

– déclaration avant la naissance : Le père et la mère peuvent reconnaître leur enfant avant la naissance ensemble ou séparément.
La démarche se fait dans n’importe quelle mairie.
Il suffit de présenter une pièce d’identité et de faire une déclaration à l’état civil.
L’acte de reconnaissance est rédigé immédiatement par l’officier d’état civil et signé par le parent concerné ou par les deux en cas de reconnaissance conjointe. L’officier d’état civil lui (ou leur) remet une copie de l’acte que celui-ci présentera lors de la déclaration de naissance.

– au moment de la déclaration de naissance :
Dès lors que le nom de la mère figure dans l’acte de naissance de l’enfant, la filiation maternelle est automatique et la mère n’a pas de démarche à faire.
En revanche, pour établir la filiation paternelle, le père doit reconnaître l’enfant.
Il peut le faire à l’occasion de la déclaration de naissance, c’est-à-dire dans les 3 jours qui suivent la naissance. Elle est alors contenue dans l’acte de naissance de l’enfant.

– après la naissance : Dès lors que le nom de la mère figure dans l’acte de naissance de l’enfant, la filiation maternelle est automatique et la mère n’a pas de démarche à faire.
En revanche, pour établir la filiation paternelle, le père doit reconnaître l’enfant.
La reconnaissance peut se faire dans n’importe quelle mairie.
Il suffit de présenter une pièce d’identité et de faire une déclaration à l’état civil.

Pour plus d’informations, cliquer sur le lien suivant :

http://www.legifrance.gouv.fr/rechSarde.do?reprise=true&page=1&lettre=

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risque inondation de plaine

Le risque inondation de plaine est dû aux fortes crues du Rhône, qui peut voir son débit dépasser les 4 000 m3/s et sa hauteur d’eau doubler voire tripler par rapport à la normale.
La commune a été inondée à plusieurs reprises notamment en 1928, 1957, 1983, 1993, 1999 et 2001.
Les inondations de 1983 et 1993 ont d’ailleurs fait l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle.
Ces phénomènes concernent la partie sud-est du territoire communal, touchant les habitations, les voiries et des terrains agricoles.

Mesures préventives :

  • Construction en 1977 d’une digue insubmersible le long du Rhône pour la crue centennale.
  • Surveillance et alerte : en cas de danger, le Préfet de l’Isère, suite aux renseignements du Centre d’Annonce des Crues de l’Isère, prévient le maire qui transmet à la population l’information et les consignes, et qui prend les mesures de protection immédiates.
  • Élaboration et mise en place, en cas de besoin, de plans de secours au niveau du département.
  • Information de la population.

Conduites à tenir :
conduites-a-tenir-risque-inondation-de-plaine

Décès

Décès

Déclaration et constatation du décès :

Un décès vient de survenir dans votre famille ? Pour vous aider, voici un récapitulatif des démarches à entreprendre pour le déclarer.

OU FAIRE LA DECLARATION ?

Auprès de l’officier de l’état civil de la commune où le décès a eu lieu.

PAR QUI ?
• par un parent du défunt
• par une personne possédant les renseignements les plus exacts et les plus complets sur l’état civil du défunt
• par un mandataire habilité à cet effet.

QUAND ?

Dans les 24 heures suivant le décès, compte tenu notamment du délai de transport de corps sans mise en bière qui nécessite au delà, de 24 heures, des soins de conservation (voir transport de corps).

PIECES A PRODUIRE :

Le livret de famille ou l’acte de naissance du défunt est conseillé.

LA CONSTATATION DU DECES :
• au domicile : la déclaration doit être faite sur présentation du certificat médical établi par un médecin.
• en établissements hospitaliers publics ou privés (hôpitaux, maisons de retraite…) : déclaration faite au vu du constat par les médecins attachés à l’établissement.

LES POMPES FUNEBRES (PF)

Avant mise en bière :
• transport du corps du lieu du décès vers le domicile ou la résidence d’un membre de la famille
• transport du lieu du décès vers une chambre funéraire.

QUI AUTORISE ?
• Le maire du lieu du dépôt du corps

CONDITIONS :
• demande de toute personne ayant qualité pour pourvoir aux funérailles
• accord écrit du directeur de l’établissement de soins ou de la maison de retraite
• accord écrit du médecin-chef du service hospitalier public/privé ou du médecin ayant constaté le décès
• déclaration de décès

Certificat d’acte de décès :

Vous souhaitez obtenir une copie ou un extrait d’acte de décès ?
• Toute personne, même si elle n’a aucun lien de parenté avec le défunt, peut demander un acte de décès. La demande peut être faite sur place ou par correspondance, auprès de la mairie du lieu où a été dressé l’acte, ou du dernier domicile du défunt.
• Par correspondance, indiquer les nom et prénom du défunt et la date du décès et joindre une enveloppe timbrée portant l’indication du nom et de l’adresse pour la réponse.

Aide-mémoire :

Selon votre cas, dans les jours qui suivent le décès, veillez à penser à :
• prévenir l’employeur ou l’Assedic
• prévenir la banque, le CCP, la Caisse d’Epargne
• demander, si vous y avez droit, une pension de réversion auprès de l’assurance vieillesse de la Sécurité Sociale
• faire valoir votre droit au capital décès auprès de la Sécurité Sociale, de l’employeur, des assurances ou autres organismes
• prévenir votre notaire et aller le voir pour organiser la succession
• prévenir la mutuelle et les caisses de retraite complémentaire et principale
• prévenir tous les organismes « payeurs » et tous les prestataires de services (Télécoms, EDF, etc…)
• si vous y avez droit, demander une allocation de parent isolé ou de soutien familial auprès de la caisse d’allocations familiales
• prévenir votre centre d’impôts pour les impôts sur le revenu, pour la taxe foncière et la taxe d’habitation
• faire parvenir une déclaration de succession établie par le notaire au centre d’impôts sur le revenu de la personne décédée.

Renseignements supplémentaires sur la page correspondante du site service-public.fr cliquer sur les liens suivants : http://www.legifrance.gouv.fr/affichSarde.do?reprise=true&page=1&idSarde=SARDOBJT000007107788&ordre=null&nature=null&g=ls

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risque crue torrentielle

Le risque crue torrentielle est liée aux débordements de la Varèze.
Il concerne toute la partie de la commune la longeant, touchant en particulier les maisons riveraines et la zone de loisirs. Cela pourrait entraîner par endroits une hauteur de 1m d’eau, parfois pendant un à plusieurs jours comme ce fût notamment le cas lors des fortes précipitations de 1983 et 1993.

Mesures préventives :

  • Entretien permanent de la Varèze.
  • Réalisation d’une étude hydraulique de la Varèze en 2002.
  • Édition de cartes de vigilance deux fois par jour par Météo France. Si la couleur est orange ou rouge, les services concernés activent leur plan de secours spécifique.
  • Plan ORSEC du département permet de déclencher l’intervention des secours départementaux si la situation l’impose.

Conduites à tenir :

conduites-a-tenir-crue-torrentielle

risque industriel

Le risque industriel à Saint-Alban-du-Rhône est lié :

  • D’une part à la présence de la centrale nucléaire sur le territoire communal : des habitations, des écoles, un établissement recevant du public et la zone de captage d’eau se trouvent dans le périmètre de risque.
  • D’autre part à l’implantation toute proche sur la commune voisine de Saint Clair du Rhône des deux industries suivantes : ADISSEO FRANCE SAS (classée « SEVESO »), et TOURMALINE REAL ESTATE – Groupe PROUDEED. Ces entreprises présentent des risques industriels majeurs, en raison de la nature et de la quantité des produits qu’elles stockent, utilisent ou fabriquent, pour les habitations et l’établissement recevant du public.

    Mesures préventives :

  • Application de la législation relative aux Installations Classées pour la Protection de l’Environnement, de la directive SEVESO et de la réglementation spécifique aux centrales nucléaires.
  • Contrôle permanent de l’installation nucléaire et de ses rejets, et maîtrise de l’aménagement alentours.
  • Information de la population et campagnes de distribution de comprimés d’iode (1997, 2000, 2005, 2009-2010).

    Conduites à tenir :

    conduites-a-tenir-risque-industriel

    De plus amples informations sur les risques industriels majeurs pour le bassin Rousillon – Saint-Clair-du Rhône sont disponibles sur le site les bons réflexes.com.

P.A.C.S.

P.A.C.S.

• Vous vivez avec une autre personne et vous ne souhaitez pas ou vous ne pouvez pas vous marier,

• vous souhaitez organiser les modalités de votre vie commune dans un cadre juridique stable,

• Vous remplissez les conditions prévues par la loi,

Vous pouvez conclure un PACS et faire une déclaration conjointe au greffe du tribunal d’instance compétent.

Pour vous informer sur les conditions pour conclure un PACS et les démarches à effectuer rendez-vous sur Service Public.fr

_http://www.legifrance.gouv.fr/affichSarde.do?reprise=true&page=1&idSarde=SARDOBJT000007116665&ordre=null&nature=null&g=ls

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risque de rupture de barrage

Le risque de rupture de barrage concerne le barrage de Vouglans sur l’Ain situé à près de 180 km de la commune. En cas de rupture totale et imprévue, l’onde de submersion atteindrait Saint Alban du Rhône environ 15 heures plus tard avec une vague déferlante de l’ordre de 13 mètres.

Mesures préventives :

  • Surveillance par l’exploitant :

     à l’aide d’examen visuels : visites périodiques de l’ouvrage, de ses évacuations et des versants de la retenue.

     à l’aide de relevés effectués par instrumentation automatique : mesures des débits de fuite, des pressions d’eau, des déformations des joints, des tassements de l’ouvrage.
  • Surveillance par les services de l’Etat (DRIRE : Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement) :

     à l’aide de visites périodiques annuelles : contrôle de l’état d’entretien et de fonctionnement de différents organes du barrage, de l’état des terrains environnant ainsi que de l’état de fonctionnement des dispositifs de mesures.

     à l’aide de visites périodiques décennales : contrôle des parties noyées de l’ouvrage à l’aide de scaphandriers, de ‘soucoupes plongeantes’, ou de caméras vidéos étanches.
  • Plan Particulier d’Intervention destiné à prévoir l’alerte, l’évacuation, l’organisation des secours.

    Conduites à tenir :

    conduites-a-tenir-rupture-de-barrage

risque de transport de matières dangereuses

La commune est concernée par le risque de transport de matières dangereuses par route (RD 37B), par rail (ligne Lyon Marseille), et par voie fluviale sur le Rhône. Il s’agit du passage de 100 à 500 camions/jour ainsi que 100 à 300 trains/jour transportant des matières dangereuses. Nous pouvons également évoquer l’aldéhyde méthylthiopropionique (AMTP) transporté par ADISSEO jusqu’à Roussillon par pipeline enterré; ce dernier se situe à l’est, légèrement en dehors des limites de notre commune. En cas d’accident, le danger peut se traduire par une explosion, un incendie, un nuage toxique, ou une pollution du sol ou de l’eau.

Mesures préventives :

  • Au niveau national, une réglementation rigoureuse porte sur :

     La formation du personnel.

     La construction des citernes selon des normes établies.

     Des contrôles périodiques (choc, pression, …).

     Des règles strictes de circulation (vitesse, stationnement, itinéraire de déviation, …).

     L’identification et la signalisation des produits dangereux transportés avec les numéros d’identification du danger et du produit, indiqués sur une plaque orange située à l’arrière du véhicule.
  • Protocole « TRANSAID » permettant, à l’échelon national, l’intervention rapide en tout point du territoire des meilleurs spécialistes du produit en cause.
  • Plan de Secours Spécialisé « Transport de Matières Dangereuses » déclenché par le Préfet et prévoyant les mesures à prendre ainsi que les moyens de secours à mettre en œuvre en cas d’accident.
  • Système de contrôle automatique des voies ferrées.
  • Visite de contrôle périodique de l’intérieur du pipeline sur toute sa longueur.

    Conduites à tenir :

    conduites-a-tenir-risque-transport-de-matieres-dangereuses

Gabriel Veyre

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Rue du Rhône, sur le portique d’entrée de la propriété appartenant aujourd’hui à Monsieur et Madame MARIE, une plaque indique que Gabriel VEYRE, a vécu dans cette maison.

gabriel-veyreGabriel VEYRE, pionnier du cinématographe, est né le 1er février 1871 à Septème (Isère) puis vécut une partie de son enfance et de son adolescence dans notre village.

En 1895 il obtient un diplôme de pharmacie de l’Université de Lyon.
Après la mort de son père, notaire à St Alban, et pour subvenir aux besoins de sa famille, il devient opérateur des frères Lumière en 1896. C’est ainsi qu’il va parcourir le monde et promouvoir cet art qu’est devenu le cinéma.
Dès avril 1896 il part en Belgique comme opérateur de projection. L’année suivante il se rend à Cuba, au Panama, au Venezuela, en Colombie.
Il est de retour en France en 1897.
En juillet 1898 il part au Canada et au Japon, puis en 1899 il va en Chine et en Indochine jusqu’en 1900.
En 1901, il arrive au Maroc où il devient photographe-cinéaste du Sultan Abd El Aziz. Il est promu Ingénieur de sa Majesté Chérifien.
Il publie en 1905 « Au Maroc, dans l’intimité du Sultan ».
Il s’installe définitivement au Maroc ou il meurt le 13 janvier 1936. Il est enterré au Cimetière Chrétien de Casablanca. Sur sa tombe on peut lire : « Ci-gît le Docteur Gabriel VEYRE (1871-1936), Officier de la Légion d’Honneur, premier précurseur de la civilisation française au Maroc ».

La vie de Gabriel VEYRE a pu être retracée grâce aux lettres qu’il a écrites des quatre coins du monde à sa mère restée à St Alban. Son arrière petit fils, Philippe Jacquier, et Marion Pranal ont rassemblé ces courriers dans un livre intitulé « GABRIEL VEYRE, OPERATEUR LUMIERE »
Il est à noter aussi qu’au musée des Frères Lumière à Lyon, plusieurs thèmes lui sont consacrés.

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Inscription listes électorales

Inscription sur les listes électorales

Les personnes qui ne sont pas inscrites sur les listes électorales, ou qui sont inscrites dans une autre commune mais souhaitent voter à Saint-Alban, doivent nécessairement s’inscrire sur les listes électorales.

Les pièces à apporter en mairie sont les suivantes :

 carte d’identité (ou passeport)

 justificatif de domicile (facture d’électricité, de téléphone, quittance de loyer, …)

 la carte d’électeur pour les personnes déjà inscrites dans une autre commune

Il est nécessaire de s’inscrire sur les listes électorales avant le 31 décembre pour pouvoir voter l’année suivante.

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La décollation de Saint Jean Baptiste

Parmi les tableaux qui ornent les murs de l’église de ST ALBAN, un mérite une attention particulière, il s’agit de la “Décollation de Saint Jean Baptiste dans les prisons d’Hérode”.

La scène peinte par François PERRIER est violente. Le Saint gît au sol, décapité. Il est dépouillé de son manteau et a lâché son bâton en forme de croix auquel s’attache une banderole annonçant la naissance du sauveur. Deux bourreaux s’affairent; l’un tient l’épée sanglante et pose la tête de Jean Baptiste sur le plateau que lui tend un page, l’autre, agenouillé, délie les mains du Saint. Au fond, deux soldats surveillent la scène.

Ce tableau que l’on croyait perdu est accroché depuis de nombreuses années sur le mur sud du chœur de notre église. Il a été découvert au début des années 1980 par G. CHOMER, historien d’art.la-decollation-de-saint-jean-baptiste

Que sait-on du peintre? D’où provient ce tableau?

François PERRIER, peu connu de nos jours, est né à Macon vers 1590-1600. Très jeune il se rend à Lyon où il apprend à peindre et à dessiner. A partir de 1620 il fait plusieurs séjours à Rome, Lyon, Paris où il décède en 1650. Il est à cette époque un peintre réputé. Louis XIV s’honore de posséder deux de ses peintures. En 1776, Louis XVI acquiert à prix fort une de ses œuvres.

Lors de son séjour lyonnais de 1629 à 1630, François PERRIER réalise un ensemble de fresques et tableaux pour le monastère des Chartreux de Lyon.

La Décollation de Saint Jean Baptiste provient de cet ensemble. En effet, dans un inventaire des peintures de François PERRIER à la Chartreuse de Lyon, nous pouvons lire que l’église Saint Bruno des Chartreux possède, à la fin du XVII ème siècle un tableau dont la description correspond exactement à la peinture présente dans notre église.

Cette œuvre a certainement été acquise lors de la dispersion des biens des Chartreux sous la Révolution. Elle peut être datée de 1630. Ce tableau est classé au titre des monuments historiques.

Elections municipales

Résultat des élections municipales du 23 mars 2014

Electeurs inscrits : 618 Votants : 445 Bulletins nuls : 14

Suffrages exprimés : 431

Liste « Le Renouveau dans la continuité » :

AMADIS Lydia : 307 voix BILLES Bernard : 309 voix
BRICHE Alain : 307 voix CARMONA Serge : 318 voix
CHAMBON Denis : 317 voix CHARDON Jean-Pierre : 323 voix
DURIEUX Robert : 323 voix DURIF Marie-Christine : 339 voix
FERMOND Cédric : 310 voix GOBIN Gisèle : 309 voix
KARSENTY Eddie : 308 voix PIAZZA Livio : 317 voix
POURRAT Pierre : 336 voix RAMBAUD Véronique : 323 voix
SAVOYE Frédérique : 308 voix

Liste « Nouvelle équipe, nouvel élan »

BOISSONNET Gisèle : 133 voix BOSC Catherine : 125 voix
CROLLA Armelle : 103 voix DUTOUR Bruno : 116 voix
FERINCE Gilbert : 134 voix JAUNET Gilbert : 99 voix
KARSENTI Frédéric : 97 voix KOLB Maud : 102 voix
MADEKOUR Ali : 83 voix MADEKOUR Stéphanie : 82 voix
MOREL Jean-Carnot : 106 voix MORETTON Alain : 106 voix
MORETTON Arnaud : 107 voix NICAISE Alain : 107 voix
SALLES Alain : 97 voix

L’adoration des mages

ladoration-des-mages Ce bas relief du 12ème siècle se situe sur la porte de l’église.
De gauche à droite : les trois rois guidés par l’étoile, la Vierge assise tenant sur ses genoux l’enfant Jésus, Joseph en prière et, de part et d’autre de la scène, une chapelle à pinacle évoquant la cité de Bethléem.
Les noms des rois mages sont gravés dans la partie supérieure de la sculpture

Monument historique classé mobilier

Bas relief médiéval

bas-relief-medievalCette sculpture, encastrée dans la façade du café Tallaron, représente un personnage barbu, les mains jointes en un signe de prière ou d’imploration

Monument historique inscrit mobilier

La fontaine miraculeuse

fontaine-miraculeuseChaque village a ses légendes, ses histoires plus ou moins réalistes. St Alban ne faillit pas à la tradition, en particulier en ce qui concerne la source qui sort de terre au pied de la croix, près du pont qui enjambe la Varèze.
L’eau limpide qui coule dans une petite construction ressemblant à une petite chapelle a la particularité de teindre les cailloux que l’on y jette en vert vif tacheté de rouge brique.
Les anciens prétendaient que cette source guérissait des maux les plus divers. L’historien Chorier, dans son histoire du Dauphiné écrivait : « la fontaine de St Alban du Rhône a deux propriétés dignes d’observation, elle est un remède aux fièvres, à la gale et aux ulcères, d’ailleurs, elle peint de toutes les couleurs les cailloux sur lesquels elle roule ».
Les vertus que l’on prête à cette source n’auraient-elles pas pour origine un évènement qui se serait passé en 1618 ?
Le 12 septembre de cette année, Mme Duffier implore la Vierge de guérir sa fille Claudine, âgée de 11 ans et atteinte d’eczéma suintant. La Vierge fit jaillir cette source, l’enfant s’y lava et fut guérie. Cette fontaine n’aurait jamais tari depuis le 12 septembre 1618.
croix-au-dessus-de-la-fontaine
Des historiens du XVIIème siècle tels que Nicolas Chorier, Denis de Boissieu, Guy Allard, le Père Ménestier, ont étabi des listes énumérant les sept merveilles du Dauphiné (en référence aux sept merveilles du monde antique). La fontaine de St Alban figure dans cet inventaire. Le mot « merveille » évoquait quelque chose d’inexplicable, un phénomène ou site naturel mystérieux. En réalité le chiffre de sept est largement dépassé car chaque auteur avait sa propre liste.

A noter : cette fontaine est située dans une propriété privée.

Qui m’a vu a pleuré,….

« Qui m’a vu a pleuré, qui me verra pleurera »

Telles sont les inscriptions, en latin, que nous pouvions lire sur une pierre qui apparaissait, lors des grandes sécheresses, dans le lit du Rhône avant que celui ci ne soit canalisé.

pierreCette pierre est certainement à l’origine du nom du lieu dit « LA ROCHE » situé en contrebas de notre village.

De quand datent ces inscriptions ? Que signifiaient-elles ?

Si l’origine des ces inscriptions est inconnue, la légende prétend que l’apparition de la pierre, due au retrait de l’eau, était annonciatrice de grandes catastrophes : on l’aurait vu avant 1914 et avant 1939. Une version, plus raisonnable, affirme que sa mise à jour a fréquemment précédé des crues importantes.

Sa dernière apparition date de l’été 1976 qui avait été particulièrement sec. Depuis, quelles que soient les conditions météorologiques, les aménagements du Rhône maintiennent le niveau de l’eau constant et cette pierre reste invisible.

Est-elle engloutie à tout jamais dans les eaux du fleuve ?

A-t-elle été détruite lors des travaux d’aménagement du Rhône ?

Baptême républicain

Le baptême républicain (appelé également “baptême civil”, ou parrainage civil) est destiné à faire entrer l’enfant dans la communauté républicaine et à le faire adhérer de manière symbolique aux valeurs républicaines.

Le baptême républicain n’est prévu par aucun texte législatif. Les maires ne sont donc pas tenus de le célébrer et il n’y a pas de cérémonial préétabli.

Il ne s’agit pas d’un acte d’état civil, le maire n’est pas autorisé à l’inscrire sur les registres de l’état civil.
Ainsi, rien n’oblige l’officier d’état civil à recevoir une déclaration de “baptême” ou de “parrainage civil”. Cela ne lui est pas interdit non plus mais les certificats ou documents qu’il délivre pour l’occasion, ainsi que la tenue d’un registre officieux, ne présentent aucune valeur juridique.

L’engagement que prennent les parrains et marraines de suppléer les parents en cas de défaillance ou de disparition n’a qu’une valeur morale. Il est possible de les désigner tuteur par testament ou par déclaration devant notaire.

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